COMMUNIQUÉ DE PRESSE : « Le pilote de la ville, du CCAS et de (...)

COMMUNIQUÉ DE PRESSE : « Le pilote de la ville, du CCAS et de Grand Châtellerault, a-t-il vraiment son brevet de pilote ? »

Article mis en ligne le 27 mars 2023

par Arnaud (Webmaster)

Départ en masse d’agents, réduction des services au public, avenir incertain du CCAS, non remplacement de certains postes, clientélisme pour les avancements et promotions internes, etc...

Piloter une collectivité, c’est anticiper et prévoir, or sur Châtellerault ce n’est pas le cas ! Après la fermeture de la crèche familiale en 2018, l’Accueil de Loisirs Municipal en 2019, impactant les jeunes et les familles, la méthode n’est pas efficiente mais on continue ! 2023 impactera les seniors avec la fermeture du Service « portage des repas » et les fermetures potentielles du SAD (Service d’Aide à Domicile), du SSIAD (Service de Soins Infirmiers à Domicile) et les quatre Résidences Autonomies (Tivoli, Renardières, Beauchêne,et Avaucourt).

Fuite d’agents en masse de toutes les catégories, non reconduction d’agents en détachement, utilisation illégale et abusive de contractuels en Accroissement Temporaire d’Activité au-delà de 6 ans, ce qui entraîne un accroissement des Risques Psycho-Sociaux, le tout à la vue de tous, malgré des alertes auprès du Maire-Président qui ne souhaite pas nous recevoir.

En 2023, les élus prévoient de nouvelles réductions des services au public :
– diminution d’ouverture des déchetteries
– fermeture de deux piscines sur quatre cet été,
– fermeture temporaire des lieux culturels (le Grand Atelier, médiathèques, etc...)

Sous prétexte de l’augmentation du prix de l’énergie, de la revalorisation du point d’indice, nos services publics diminuent, mais les choix politiques courts termistes et les stratégies managériales sont également en cause.

La réorganisation des services en 2022, et la création d’un niveau hiérarchique incompris, ont provoqué, un alourdissement des procédures alors qu’il était recherché une agilité organisationnelle ainsi qu’un bien-être au travail, ce qui provoque le départ en masse d’agents.

Conséquences : une perte des compétences pénalisant l’action publique et surtout les usagers.